L’agence immobilière La Source prend ses nouveaux quartiers
Publié le 17 juillet 2020
Après plusieurs mois de travaux, l’agence La Source a pu déménager ses locaux après le confinement. Du 17A rue du Général de Gaulle, elle est passée au 1 : face à la brasserie Le Cheval Blanc, à côté de l’église et avec vue sur la place Coget. « Une position centrale », se réjouissent Charlotte Vandeweghe et Emmanuel Denis, 14 et 20 ans d’expérience en négoce immobilier. « Nous avons d’ailleurs bougé pour l’emplacement. C’est certes un petit peu plus grand qu’avant mais on ne manquait pas de place. » Ils indiquent croiser déjà beaucoup plus de gens qu’à leur ancienne agence. « Surtout, on s’est
dit que si on ne saisissait pas l’opportunité, une autre agence pourrait le faire, or nous sommes déjà trois à Phalempin. »
En plus de La Source, on compte Avenue Immobilier Métropole rue Léon-Blum et Isilogis rue du Général De Gaulle. « Personne n’avait envie qu’une agence nationale vienne s’installer en plus. »
Un bâtiment rénové
Dans le bâtiment en briques, tout a dû être refait. « Il y avait la mérule, on a désossé jusqu’à la charpente », indique Emmanuel Denis. Le binôme dispose désormais « d’un bel outil de travail, c’est hyper important. De plus, on souhaitait disposer d’un accès pour les personnes à mobilité réduite, qu’on a pu aménager ». Le bâtiment est flambant neuf, puisque la boutique l’Etoilerie occupe aussi l’autre partie depuis plusieurs mois.
La Source aurait dû, cette année, fêter ses 15 ans d’ouverture à Phalempin. Un anniversaire qu’il faudra sans doute reporter. En attendant, l’agence poursuit son activité, concentrée à 90% sur les transactions immobilières. « On fait aussi un peu de location, mais surtout à Phalempin pour une clientèle de Phalempinois que nous connaissons. »
Suite au confinement, Charlotte et Emmanuel ont observé une très bonne reprise. « La recherche est très active à Phalempin et dans les communes
voisines, tout le monde vous le dira. » Pour le moment cependant, les deux négociateurs ne souhaitent pas tirer de conclusions hâtives sur l’évolution du
marché. Après quinze jours de reprise « tonitruants », Charlotte et Emmanuel avaient d’ailleurs presque vendu tous les biens qu’ils proposaient. « C’est logique, commente Charlotte Vandeweghe. Car pendant que vous faites visiter les biens et vendez, vous ne prospectez pas pour en faire rentrer de nouveaux. On le sait, c’est un cercle. Mais là on commence à en faire rentrer petit à petit. » L’avenir nous dira si le confinement a entraîné une profonde
envie de mise au vert.